Réflexions sur l’auto-publié numérique
Aujourd’hui, je vous invite à lire un excellent article du site Le baiser de la mouche, qui traite de l’auteur auto-publié et de sa participation à la démocratisation de l’édition numérique.
Ce billet est en fait la troisième partie d’une réflexion plus vaste sur la condition de l’auteur, du choix de ne pas avoir d’éditeur, et il propose une analyse bien structurée du parcours de l’auto-publication numérique et de ses joies et difficultés… 🙂
En voici l’introduction, l’intégralité de l’article étant à lire sur le site.
Le succès populaire et commercial des livres numériques autoédités My Blood Approves de Amanda Hocking ou Riptide de Michael Prescott (vendu à plus de 800 000 exemplaires) aux États-Unis ; les succès, géographiquement plus proche, de Catch Your Death de Louise Voss & Mark Edwards ou encore de The Case of the Missing Boyfriend de Nick Alexander, avec contrat de maison d’édition traditionnelle à la clé et traduction dans nombreux pays, démontrent que l’autoédition participe au développement du livre numérique. L’accroissement de la lecture sur liseuse électronique a révélé des auteurs jusqu’ici inconnus, dont les manuscrits souvent avaient été refusés par les éditeurs traditionnels…
Bonne lecture ! 🙂
Hélène
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