Interview de M.I.A sur le blog de Marie-Pierre Bardou
Marie-Pierre Bardou est une lectrice fidèle de M.I.A, qui nous suit depuis nos débuts et qui est elle-même auteur publié par notre maison d’édition, avec trois romans et un guide pratique à son actif, à ce jour.
Afin de l’aider à promouvoir son site, tout récent, nous avons accepté avec plaisir de répondre à une petite interview dans laquelle elle nous interroge sur nos activités d’auteurs et d’éditeur, dans la décontraction et le bonne humeur.
Voici un aperçu du début de l’article en question :
Un auteur qui ne parle que de soi et de ses propres œuvres est un auteur qui tourne un peu en rond !
J’ai donc décidé de creuser un peu dans l’univers de mes collègues romanciers, ceux dont j’ai apprécié les livres bien sûr, et je vais commencer par le « gratin » : les boss, les fondateurs de la maison d’Édition à laquelle j’ai confié l’avenir de mes propres romans
M.I.A., donc, ont été les premiers à se prêter gentiment au jeu de mes questions. Ils n’ont plus besoin d’être présentés, mais rappelons tout de même quelques faits : ils sont deux, écrivent ainsi à 4 mains, et viennent de publier leur troisième roman : « La quête d’Echo » est le premier tome de leur trilogie « La Faille ». Les fans de M.I.A y trouveront quantité de clins d’œil aux deux premiers romans, et l’univers futuriste du second, « La Trappe ». Personnellement, je fais partie de ces fans et ce premier tome est une vraie réussite !
Mais place aux boss, maintenant…
Bonjour M.I.A ! Ceux qui vous connaissent savent maintenant que vous êtes deux, Hélène et Sébastien. Votre pseudo, Missing In Action, d’où vient-il ?
Missing In Action (M.I.A) est un acronyme anglophone utilisé principalement par l’armée pour qualifier les soldats portés disparus au combat (mais dont on ne connaît pas le sort), également synonyme de l’expression « manquant à l’appel » ou « dont on n’a pas de nouvelles » lorsqu’on se sert de l’expression au quotidien pour parler de quelqu’un.
Au moment du choix d’un pseudo commun pour notre duo, fin 2011, le terme nous semblait parfaitement adapté à l’univers de Rémoras, tout en sachant déjà que l’ambiance de nos titres suivants correspondrait aussi parfaitement à cette expression.
La Faille est votre troisième titre. Les deux derniers parlent d’un avenir où tout est parfaitement contrôlé, aseptisé et formaté. Flippant, ou rassurant ? Quel est votre regard sur un avenir idéal ?
Heu, nous ne croyons pas en un avenir idéal…
Plus sérieusement, nous plaçons toutes nos névroses dans nos récits, mêlées à ce que nous croyons vraiment percevoir de la réalité de notre monde. Ceci dit, que nos lecteurs soient rassurés, nous savons aussi profiter de la vie.
Pour découvrir notre échange dans son intégralité… CLIQUEZ ICI.
Bonne lecture à tous ! 🙂
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On en sait un peu plus des auteurs et si La Faille traduit vos peurs, ce n’est pas très rassurant bien que le scénario soit tout de même possible…
aide-aux-entreprises.info(Citer) (Répondre)
Plus des obsessions que des peurs, nous sommes assez fatalistes quant au genre humain… 🙂
mialn(Citer) (Répondre)